
Protéger ses proches en cas de coups durs.
Assurer sa voiture, sa maison, ses objets de valeurs relève de l’évidence pour beaucoup d’entre nous. Mais dès qu’il s’agit de s’assurer en vue de fournir un capital à ses proches en cas d’accident ou de décès, la question devient tout de suite plus délicate à aborder.
Penser à l’avenir des siens, c’est faire en sorte que sa disparition prématurée ne leur soit pas préjudiciable financièrement. À moins de disposer d’un patrimoine important qui serait transmis à son décès, le risque est qu’ils ne puissent maintenir leur niveau de vie. Différentes solutions d’assurance existent pour y remédier.
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Le versement du capital décès par
les organismes sociaux selon votre statut.
Vous êtes salarié
La Sécurité sociale verse un capital décès à vos ayants droit : conjoint, enfants…
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Son montant est forfaitaire, fixé par décret. Depuis le 1er avril 2016, ce montant est de 3 404 euros.
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Il n’est pas versé automatiquement ; il faut en faire la demande auprès de votre caisse primaire d’assurance maladie.
Vous n’êtes pas salarié
Des prestations sont également prévues par votre régime obligatoire :
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le site du Régime social des indépendants : www.rsi.fr – rubrique prévoyance/veuvage/capital décès, pour les artisans, commerçants ;
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le site de la Caisse nationale des barreaux français, www.cnbf.fr, pour les professions juridiques ;
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le site de la Caisse nationale d’assurance vieillesse des professions libérales, www.cnavpl.fr.
Pour le complément, la solution de l’assurance décès :
Pour donner à votre famille les moyens de faire face financièrement : remboursement de prêts, loyers, impôts, études des enfants, dépenses du quotidien… l’assurance décès est une solution simple qui vous permet de définir avec précision le capital que vous souhaitez.
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A la souscription, il est conseillé de prévoir si possible, au moins 1 an de salaire : plus vous avez d’enfants, plus le montant doit être élevé. Vous déterminez ainsi le montant du capital décès ainsi que sa répartition entre les bénéficiaires désignés.
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La solution la plus complète consiste à prendre une option «maladie et accident». Sachez qu’il existe souvent la possibilité d’opter pour un doublement ou un triplement du capital en cas de décès par accident.
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Pour un capital inférieur à 50 000 €, les formalités sont souvent assez simples ; au-delà, il est en général demandé de remplir un questionnaire de santé complet.
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Plus vous souscrivez jeune, moins la cotisation est élevée ; Le capital versé à vos proches est totalement exonéré : ni droits de succession, ni impôt sur le revenu, ni prélèvements sociaux.
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Si votre situation familiale évolue, pensez à vérifier votre contrat d’assurance décès et à adapter, si besoin, le montant du capital et le nom des bénéficiaires ainsi que leur part à recevoir.
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N’oubliez pas qu’une assurance décès s’arrête automatiquement à partir d’un certain âge.
La solution de l’assurance décès
Pour donner à votre famille les moyens de faire face financièrement : remboursement de prêts, loyers, impôts, études des enfants, dépenses du quotidien… l’assurance décès est une solution simple qui vous permet de définir avec précision le capital que vous souhaitez.
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A la souscription, il est conseillé de prévoir si possible, au moins 1 an de salaire : plus vous avez d’enfants, plus le montant doit être élevé. Vous déterminez ainsi le montant du capital décès ainsi que sa répartition entre les bénéficiaires désignés.
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La solution la plus complète consiste à prendre une option «maladie et accident». Sachez qu’il existe souvent la possibilité d’opter pour un doublement ou un triplement du capital en cas de décès par accident.
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Pour un capital inférieur à 50 000 €, les formalités sont souvent assez simples ; au-delà, il est en général demandé de remplir un questionnaire de santé complet.
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Plus vous souscrivez jeune, moins la cotisation est élevée ; Le capital versé à vos proches est totalement exonéré : ni droits de succession, ni impôt sur le revenu, ni prélèvements sociaux.
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Si votre situation familiale évolue, pensez à vérifier votre contrat d’assurance décès et à adapter, si besoin, le montant du capital et le nom des bénéficiaires ainsi que leur part à recevoir.
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N’oubliez pas qu’une assurance décès s’arrête automatiquement à partir d’un certain âge.
Différences entre l’assurance vie et l’assurance décès
L’assurance vie est un contrat d’assurance un peu particulier : sa fonction première n’est pas de protéger son souscripteur contre un accident de la vie. L’assurance vie ne doit ainsi pas être confondue avec l’assurance décès qui consiste à verser à sa mort un capital (dont le montant est défini à la souscription) à la famille proche du défunt, quel que soit le montant des primes versées.
Dans le cas de l’assurance vie, le capital a vocation à être restitué au souscripteur s’il est en vie au terme du contrat, ou à ses bénéficiaires en cas de décès. Le montant en jeu dépend alors des sommes d’argent versées, augmentées ou diminuées des gains ou pertes générés par la gestion financière du contrat.
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